La finale est lancée pour décerner les trophées 813. Je vous rappelle que ces trophées sont décernés après vote des adhérents de l’association en deux étapes : une première où l’on propose des romans étant parus l’année d’avant, une deuxième où le vote doit désigner le vainqueur dans quatre catégories. Voici donc les 4 catégories avec la liste des romans et documents en lice, ce qui peut vous donner des idées de lecture. Toutes les infos sont bien sur disponibles sur le blog 813 : http://blog813.over-blog.com/
Alors rejoignez l'association 813 et recevoir plein d'infos sur le polar et défendre les romans que vous aimez
TROPHEE DU ROMAN FRANCOPHONE :
Back-up de Paul Colize :
Quel rapport entre la mort en 1967 des musiciens du groupe de rock Pearl Harbor et un SDF renversé par une voiture à Bruxelles en 2010 ? Lorsque l'homme se réveille sur un lit d'hôpital, il est victime du Locked-in Syndrome, incapable de bouger et de communiquer. Pour comprendre ce qui lui est arrivé, il tente de reconstituer le puzzle de sa vie. Des caves enfumées de Paris, Londres et Berlin, où se croisent les Beatles, les Stones, Clapton et les Who, à l'enfer du Vietnam, il se souvient de l'effervescence et de la folie des années 1960, quand tout a commencé...
I Cursini de Alix Deniger :
'Félix Codaccioni s'installe au volant... La vitre conducteur explose, une, deux, puis trois décharges de chevrotines le déchirent. Douleur fulgurante, sang et lambeaux de chair qui éclaboussent le cuir... Une silhouette noire se recule légèrement. Une autre s'avance à droite, une Kalach crache une longue rafale qui hache l'habitacle. Un troisième homme s'approche, un Beretta 92 à la main. Il tire encore deux coups dans le visage déjà fracassé. Les tueurs s'éloignent tranquillement, indifférents aux fenêtres qui s'entrouvrent. Les témoins parleront de combinaisons, de cagoules, d'une Mercedes noire...' Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. Peut-être est-ce pour cela que le sujet du terrorisme en Corse et du combat, par nature secret, des clandestins n'a que rarement été traité dans le roman policier, peu désireux d'écorner le mythe bâti par ses acteurs. Au-delà des accusations de dérive mafieuse et de barbouzeries que se renvoient flics et cagoulés, I cursini, premier roman d'Alix Deniger, nous présente sans concession les acteurs de la tragi-comédie qui se joue dans l'île depuis trente-cinq ans.
Balancé dans les cordes de Jeremie Guez :
Finaliste prix SNCF du polar « Tout y est, la noirceur sociale des grands écrivains américains et le sens de la mouise de Léo Malet. » Renaud Monfourny Les Inrockuptibles Balancé dans les cordes Tony est un jeune boxeur. Garçon sans histoires, il consacre sa vie au sport, prépare son premier combat pro et se tient à l'écart des trafics qui rythment la vie de sa cité. Mais il doit composer avec une mère à problèmes, qui se laisse entretenir par des voyous. Tout dérape lorsque l'un d'entre eux la bat et l'envoie à l'hôpital. Tony décide de faire appel à Miguel, le caïd de la ville, pour étancher sa soif de vengeance. Dans ce milieu, rien n'est jamais gratuit. La faveur demandée a un prix, celui du sang.
Arab jazz de Karim Miské :
Dans le 19e arrondissement de Paris toutes les communautés, religieuses et ethniques, se côtoient au quotidien. Sushis casher, kebabs, restaurant turc – point de ralliement de tous les jeunes du coin –, la librairie d’occasion farcie de romans policiers jusqu’au plafond, coiffeur juif…
Seul Ahmed Taroudant – qui a l’horrible privilège de découvrir le corps sanguinolent de sa voisine et amie, Laura Vignola, suspendu au-dessus de son balcon – se tient à distance de cette population cosmopolite : prisonnier d’une histoire personnelle traumatisante, rêveur, lecteur fou de polars… Il constitue le coupable idéal de ce crime abominable.
L’homme à la bombe de Christian Roux :
Dans une France minée par le chômage et les plans sociaux, Larry, ingénieur acousticien, perd son emploi. Même pour un travail non qualifié, on ne veut pas de lui. Trop diplômé. Lassé des entretiens d'embauche qui ne mènent nulle part, écoeuré, aux abois, il fait une bêtise. Fabrique une bombe. Elle est fausse, mais lui seul le sait et le pouvoir de persuasion de la bombe est immense...
Depuis Le Couperet de Westlake, la souffrance au travail, la peur du chômage et la détresse induite par la perte d'emploi, sont des thèmes plus actuels que jamais. Christian Roux s'en empare dans ce road-novel intense aux accents de fable politique.
Le dernier lapon de Olivier Truc :
L’hiver est froid et dur en Laponie. À Kautokeino, un grand village sami au milieu de la toundra, au centre culturel, on se prépare à montrer un tambour de chaman que vient de donner un scientifique français, compagnon de Paul-Emile Victor. C’est un événement dans le village. Dans la nuit le tambour est volé. On soupçonne les fondamentalistes protestants laestadiens : ils ont dans le passé détruit de nombreux tambours pour combattre le paganisme. Puis on pense que ce sont les indépendantistes sami qui ont fait le coup pour faire parler d’eux.
La mort d’un éleveur de rennes n’arrange rien à l’affaire. Deux enquêteurs de la police des rennes, Klemet Nango le Lapon et son équipière Nina Nansen, fraîche émoulue de l’école de police, sont persuadés que les deux affaires sont liées. Mais à Kautokeino on n’aime pas remuer les vieilles histoires et ils sont renvoyés à leurs courses sur leurs scooters des neiges à travers l’immensité glacée de la Laponie, et à la pacification des éternelles querelles entre éleveurs de rennes dont les troupeaux se mélangent. Au cours de l’enquête sur le meurtre Nina est fascinée par la beauté sauvage d’Aslak, qui vit comme ses ancêtres et connaît parfaitement ce monde sauvage et blanc.
Que s’est-il passé en 1939 au cours de l’expédition de P-E. Victor, pourquoi, avant de disparaître, l’un des guides leur a-t-il donné ce tambour, de quel message était-il porteur ? Que racontent les joïks, ces chants traditionnels que chante le sympathique vieil oncle de Klemet pour sa jeune fiancée chinoise ? Que dissimule la tendre Berit malmenée depuis cinquante ans par le pasteur et ses employeurs ? Que vient faire en ville ce Français qui aime trop les très jeunes filles et a l’air de bien connaître la géologie du coin ? Dans une atmosphère à la Fargo, au milieu d’un paysage incroyable, des personnages attachants et forts nous plongent aux limites de l’hypermodernité et de la tradition d’un peuple luttant pour sa survie culturelle. Un thriller magnifique et prenant, écrit par un auteur au style direct et vigoureux, qui connaît bien la région dont il parle.
TROPHEE Michèle WITTA- ROMAN ETRANGER :
La tristesse du samouraï de Victor del Arbol :
Trois générations marquées au fer rouge par une femme infidèle. L'incartade a transformé les enfants en psychopathes, les victimes en bourreaux, le code d’honneur des samouraïs en un effroyable massacre. Et quelqu’un doit laver le péché originel.
Victor del Árbol est né à Barcelone en 1968. Après avoir étudié l'Histoire, il travaille dans les services de police de la communauté autonome de Catalogne. Il est l'auteur de deux romans, dont La Tristesse du samouraï, paru dans la collection "Actes noirs" en 2012.
A la trace de Deon Meyer :
Chacun des protagonistes de ce roman aux intrigues apparemment distinctes laisse des traces. Toutes, à un moment donné, vont se croiser. Milla, mère de famille qui plaque son foyer et rejoint l?Agence de Renseignement Présidentielle au moment où un groupuscule islamiste s?agite de manière préoccupante. L?aventurier Lemmer qui protège le transfert à la frontière du Zimbabwe de deux inestimables rhinos noirs. Lukas Becker, l?archéologue aux prises avec les gangs de la plaine du Cap. L?ex-flic Mat Joubert, devenu détective privé, chargé d?enquêter sur la disparition d?un cadre de l?Atlantic Bus Company. Comparée à l?univers du polar américain (corruption, drogue, prostitution), la matière romanesque de À la trace, qui allie « le monde animal, inhérent à notre culture », des contrebandes pittoresques, l?émancipation des femmes, la culture gangsta des villes, frappe par sa richesse et sa diversité. Deon Meyer est un des rares auteurs qui, tout en maîtrisant avec brio les règles du genre, ouvre grand le champ des problèmes contemporains de son pays.
Le diable tout le temps de Donald Ray Pollock :
Dès les premières lignes, Donald Ray Pollock nous entraîne dans une odyssée inoubliable, dont on ne sort pas indemne.
De l'Ohio à la Virginie Occidentale, de la fin de la Seconde Guerre mondiale aux années 60, les destins de plusieurs personnages se mêlent et s'entrechoquent. Williard Russell, rescapé de l'enfer du Pacifique, revient au pays hanté par des visions d'horreur. Lorsque sa femme Charlotte tombe gravement malade, il est prêt à tout pour la sauver, même s'il ne doit rien épargner à son fils Arvin. Carl et Sandy Henderson forment un couple étrange qui écume les routes et enlève de jeunes auto-stoppeurs qui connaîtront un sort funeste. Roy, un prédicateur convaincu qu'il a le pouvoir de réveiller les morts, et son acolyte Théodore, un musicien en fauteuil roulant, vont de ville en ville, fuyant la loi et leur passé.
Toute d'ombre et de lumière, la prose somptueuse de Pollock contraste avec les actes terribles de ses personnages à la fois terrifiants et malgré tout attachants. Le diable tout le temps n'est pas sans rappeler l'univers d'écrivains tels que Flannery O'Connor, Jim Thompson ou Cormac Mc Carthy.
Le monde à l’endroit de Ron Rash :
Travis Shelton, 17 ans, découvre un champ de cannabis en allant pêcher la truite au pied de Divide Mountain, dans les Appalaches. C'est un jeu d'enfant d'embarquer quelques plants sur son pick-up. Trois récoltes scélérates plus tard, Travis est surpris par le propritéaire, Toomey, qui lui sectionne le tendon d'Achille, histoire de lui donner une leçon.
Mais ce ne sera pas la seule de cet été-là: en couflit ouvert avec son père, cultivateur de tabac intransigeant, Travis trouve refuge dans le mobile home de Leonard, un prof déchu devenu dealer. L'occasion pour lui de découvrir les lourds secrets qui pèsent sur la communauté de Shelton Laurel depuis un massacre perpétré pendant la guerre de Sécession. Confronté aux ombres troubles du passé, Travis devra également affronter les épreuves du présent.
Le père, Toomey, Leonard, trois figures qui incarnent chacune une forme d'autorité masculine, vont tragiquement façonner son passage à l'âge d'homme.
Ce roman, le troisième de Ron Rash - après Un pied au paradis et Serena - à être traduit en français, confirme par son lyrisme âpre que cet écrivain est avant tout un poète, ardent défenseur de sa terre et de la mémoire de celle-ci.
Pike de Benjamin Whitmer :
Pike n'est plus l'effroyable truand d’autrefois, mais il a beau s'être rangé, il n’en est pas plus tendre. De retour dans sa ville natale des Appalaches proche de Cincinnati, il vit de petits boulots avec son jeune comparse Rory qui l'aide à combattre ses démons du mieux qu’il peut. Lorsque sa fille Sarah, disparue de longue date, meurt d’une overdose, Pike se retrouve en charge de sa petite-fille de douze ans. Mais tandis que Pike et la gamine commencent à s'apprivoiser, un flic brutal et véreux, Derrick Kreiger, manifeste un intérêt malsain pour la fillette. Pour en apprendre davantage sur la mort de Sarah, Pike, Rory et Derrick devront jouer à armes égales dans un univers sauvage, entre squats de junkie et relais routiers des quartiers pauvres de Cincinnati.
Pike est un remarquable roman noir dans lequel Benjamin Whitmer, digne héritier de Jim Thompson et David Goodis, plonge dans l’âme du lecteur pour y laisser une empreinte indélébile.
TROPHEE MAURICE RENAULT (essai, étude, article de presse, magazine…)
Le Blog Action suspense de Claude Le Nocher
Le blog Actu du noir de Jean Marc Lahérrère
Le site Klibre
L’association Fondu au noir
La tête au noir
TROPHEE ALBUM BD
Blast de Manu Larcenet
Castilla drive de Anthony Pastor
La peau de l’ours de Zidrou et Oriol
Pizza roadtrip de cha eldiablo
Zone blanche de Jean C.Denis
Les éditions des Ragosses (une branche des éditions Apogées) sortent deux nouveaux romans noirs dans leur collection noire justement, très différents dans leur genre. Si j’en parle aujourd’hui, c’est parce que leur sujet est bigrement tentant et qu’ils sont tous deux sortis au format poche. Alors, allez voir sur le site à cette adresse là : http://www.editions-apogee.com/
Rouge ballast de Jean-Claude Le Chevère :
Dans ce village baigné dans l’odeur de sang émanant de l’abattoir, même le train n’a pas le potentiel poétique ou utilitaire qu’on peut lui attribuer ailleurs. Ici, lorsque les habitants, et plus particulièrement les femmes, prennent le train, c’est en pleine face, et sans retour. Mais quand Mathilde franchit le parapet, la rumeur enfle : l’a-t’elle fait volontairement? Le vieux Bob, le « mûrisseur de clous », n’en semble pas persuadé, ni les jumelles, intarissables commères de l’école, ni les enquêteurs qui viennent fouiner dans le secteur. Au milieu de toute cette agitation, Gaby assure l’intendance en s’occupant de ses frères Djezon et Jirès, et en surveillant le couple infernal que forment Bruno, son père irascible, et sa dernière compagne, la grande Louise, plus férue de manucure que de vie de famille. Seul son ami Djamel, alias Frank, lui apporte un peu de réconfort.
Si J.-C. Le Chevère a choisi pour narratrice une jeune fille de 15 ans, c'est pour mieux montrer l'incurie des adultes qui l'entourent et leur incapacité au bonheur. Les personnages, la vie du village, le décor (en odorama!), nous apparaissent d'autant plus glauques à travers son regard et sa clairvoyance. Est-ce aux abords des voies ferrées ou dans l'intimité des intérieurs que se réveille la jalousie qui teinte peu à peu en rouge ce roman noir?
Plus d’informations ici : http://www.editions-apogee.com/vient-de-paraitre/rouge-ballast.html
Trousse cocotte de Jean Kergrist :
Septembre 2024, au bar-tabac-poste-épicerie-boulangerie Le Kreiz Breizh, le jeune et frétillant Dorig Conan, curieux et emmerdeur professionnel, s’amourache bêtement de la belle Manon, une aguicheuse à double tiroir. Elle va le mener sur la route du poulet, du centre Bretagne aux pentes neigeuses de l’Himalaya : Peshawar, Leh, Shrinagar… dans une histoire de trafic de pierres précieuses, d’aliment hors-sol, d’espions, de marchands d’armes, de porteurs de valises et de tontons flingueurs.
Le jour, un petit train à vapeur transporte les touristes chinois le long du canal de Nantes à Brest tandis que la nuit, d’autres transferts, occultes ceux-là, prennent le relais en direction du nouvel aéroport international Notre-Dame-de-Guiscriff. Au cœur de ces activités louches, un immense poulailler souterrain et une auberge de Glomel, tenue par Gordon Lefébur, lord anglais, ex-diplomate au Moyen-Orient. Dorig Conan, héros malgré lui, va remonter cette piste clandestine…
Si un quidam se reconnaissait dans l’un ou l’autre de ces personnages, l’auteur ne pourrait que se trouver flatté d’une telle parenté fortuite…
L’avis de l’ami Claude est là : http://action-suspense.over-blog.com/jean-kergrist-trousse-cocotte-%C3%89ditions-des-ragosses-2013
Plus d’informations ici : http://www.editions-apogee.com/vient-de-paraitre/trousse-cocotte.html
Cette semaine, j’ai décidé de parler d’un auteur que j’adore, et dont l’actualité va être riche durant ce mois d’avril. Il s’agit de Pascal Dessaint, auteur de romans noirs dont la profondeur psychologique et l’analyse sociologique sont à placer au dessus du lot.
Son nouveau roman « Maintenant le mal est fait » vient de sortir chez Rivages, et vous en entendrez bientôt parler ici. Dans le même temps, deux de ses précédents romans sortent en poche chez Rivages Noir, « Les derniers jours d'un homme » roman magnifique et « Tu ne verras plus ». J’en profite aussi pour vous donner le lien vers le site officiel de l’auteur : http://www.pascaldessaint.fr/Pascal_Dessaint.html
Voici donc une présentation de ces trois romans :
Maintenant le mal est fait de Pascal Dessaint (Rivages) :
« Être soi-même se révèle parfois une faute, ou une erreur. Il y a une grande différence. La faute est impardonnable, très souvent. L’erreur est rectifiable, si on a le temps pour soi. Ma mère ne paraissait pas vouloir accorder ce temps à mon père, ni lui pardonner. »
La disparition troublante d'un homme va changer le regard que ses amis portent sur eux-mêmes, perturber l'équilibre déjà fragile d'une petite communauté qui voit son existence contrariée par un projet de route. Comment saisir les forces qui gouvernent la vie de chacun, et s'en accommoder ? Au-delà d'un roman sur l'amitié et les risques qu'elle fait courir, "Maintenant le mal est fait" est une réflexion sur la frénésie de notre monde et sur le progrès, sur les rapports complexes que les hommes entretiennent avec la Nature et sur le mal qui peut en découler.
Les derniers jours d’un homme de Pascal Dessaint (Rivages Noir) :
Dans une ville sidérurgique du nord, deux voix se répondent à quinze ans d'intervalle. Celle d'un père, Clément, et celle de sa fille, Judith. Clément raconte la mort de sa jeune épouse et l'horreur de l'usine, jusqu'au drame qui va tout faire basculer. Judith, elle, est âgée de dix-huit ans et orpheline. L'usine n'est plus là mais elle a laissé un terrible héritage : crassiers, pollution des sols et des cours d'eau, maladies, chômage. Judith se remémore son enfance et, surtout, cherche à comprendre qui était son père et comment il a trouvé la mort.
Romancier de l'intime et du réel, Pascal Dessaint évoque le scandale de l'usine MétalEurop qui fut liquidée sans préavis, laissant une région entière sinistrée.
"Dessaint excelle à faire surgir l'indicible des sentiments, attentif au détail, proche de chacun de ses personnages." (Michel Abescat, Télérama)
Voici le lien vers mon billet : http://black-novel.over-blog.com/article-les-derniers-jours-d-un-homme-de-pascal-dessaint-rivages-50407903.html
Tu ne verras plus de Pascal Dessaint (Rivages noir) :
Le capitaine de police Félix Dutrey broie du noir en l'absence de sa compagne, mais une affaire insolite va bientôt le sortir de sa torpeur : un taxidermiste a été retrouvé mort dans son atelier et ses yeux ont été remplacés par des billes de verre, comme si le corps avait été naturalisé.
Aidé de ses collègues Marc et Magali, Félix mène une enquête en forme d'errance mélancolique, ponctuée d'épisodes tragiques ou désopilants, telle cette attaque de "Peaux-Rouges" en plein centre de Toulouse.
Le blog reste ouvert.
Dorénavant, les nouveaux billets seront là :
http://blacknovel1.wordpress.com/