21 octobre 2011
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10:00
Tous les vendredis midi, retrouvez la suggestion de Black Novel : un livre de poche. Et n'oubliez pas le principal : lisez.
Cette semaine : Il est mort le poète de Markus Malte (La Tengo)
A bientôt.
4ème de couverture :
À quatre mois de l’élection présidentielle, le candidat de l’opposition, Antoine Simiac, caracole en tête des sondages. Jeune et charismatique,
il est surnommé « le poète » par ses supporteurs, en raison de ses envolées lyriques lors de ses discours. La présidence de la République lui semble promise. Jusqu’au jour où trois
balles de gros calibre mettent un terme à sa fulgurante ascension. Un sénateur fête cette nouvelle et propose à Benoit Dutertre de se présenter. C’est leur chance ou jamais de surfer sur la
vague du martyr.
Quelques années plus tard, Mastrado, qui sort de prison, est accosté par une jeune femme de 20 ans. C’est sa fille Zoe qu’il n’a jamais
vu.
Mon avis :
Je suis toujours époustouflé, quand je lis ces Pièces à conviction (c’est le nom de la collection). Mais de quoi, me direz vous ? Je suis
ébahi, esbaubi par l’art de bâtir des personnages en aussi peu de pages, de construire une intrigue passionnante qui se tienne, de nous emmener avec une telle fluidité. Même si on devine le chute
un peu avant la fin, comme cela semble facile d’écrire des romans. Mais je pense que cela doit s’appeler du talent, et ce roman en est pétri. Un court roman que l’on peut dévorer dans les
transports en commun ou en faisant ses courses, à lire et à relire.
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Une idée de lecture
14 octobre 2011
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10:00
Le 20 octobre prochain, les éditions Points vont ré-éditer Un nommé Peter Karras de George Pelecanos. De tous les fans Pelecaniens, c’est son meilleur roman. Alors pour fêter
l’événement, je vous propose de réaliser une gigantesque lecture commune.
Que vous soyez blogueurs ou simples lecteurs, lancez vous dans cette aventure. Il suffit de me signaler votre participation via un commentaire
ou le mail inscrit sur cette page, et sur une page dédiée à cet effet, vos noms ou pseudo seront notés. Les liens vers les articles des blogueurs seront ajoutés, ainsi que pour les non blogueurs
leurs commentaires et avis.
Voici l’occasion de mettre en valeur un roman qui promet d’être exceptionnel. Et comme je ne l’ai pas lu moi-même, ce sera aussi une découverte.
Cette opération, totalement bénévole de ma part, just for fun, se terminera le 20 novembre, soit 1 mois après la sortie du roman aux éditions Points.
En voici le résumé :
Peter le Grec et Joe le Rital ont grandi ensemble dans le Washington D.C. miteux des années 1930. Pour ces gosses d’immigrés,
c’était la truande ou la misère. Si Joe compte bien devenir un caïd dans le milieu du crime organisé, Peter, après un passage à tabac, décide se ranger. Mais depuis qu’un cinglé s’amuse à
découper des prostituées, les règles du jeu ont changé : il s’agit de sauver sa peau…
George Pelecanos est né en 1957 aux États-Unis. Écrivain, il a notamment collaboré en tant que producteur et scénariste à la
série Sur écoute (The Wire). La plupart de ses ouvrages sont disponibles en Points.
« L'écriture de Pelecanos le place parmi les grands auteurs de romans noirs actuels. » Télérama
Avis aux amateurs !
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Une idée de lecture
7 octobre 2011
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10:00
Tous les vendredis midi, retrouvez la suggestion de Black Novel : un livre de poche. Et n'oubliez pas le principal : lisez.
Cette semaine :La trilogie marseillaise de Jean Claude Izzo (Folio)
A bientôt.
4ème de couverture :
Des quartiers
nord aux ruelles du Panier, des quais du Vieux Port aux calanques les plus reculées des bords de mer, Fabio Moniale en sait tellement sur Marseille qu'il sent battre en lui les pulsations de la
ville. Flic déclassé. fils d'immigrés appréciant les poètes, le jazz, la pêche et les femmes, il est à l'image de cette ville tant aimée. un homme sensible dont le passé parfois douloureux
resurgit au fil des enquêtes... Réunir en un seul volume les trois romans qui mettent en scène le personnage de Fabio Montale est l'occasion. pour les Editions Gallimard, de rendre un hommage
appuyé à Jean-Claude Izzo qui aura toute sa vie lutté pour être ait plus près de ses rêves. Cette trilogie, véritable prolongement romanesque d'un homme, offre, par sa cohérence, la possibilité
de (re)découvrir le très grand talent d'un homme de cœur et d'engagements.
Mon avis :
Ces romans noirs, plus que romans policiers, est probablement celui qui parle le mieux de Marseille. Jamais, je n’ai lu un auteur qui a aussi
bien su retranscrire le plaisir du soleil, des gens à l’accent chantant, les vieux quartiers ou les petits déjeuners au bord de la plage. Cette trilogie est aussi une illustration parfaite d’un
adage que l’on devrait se rappeler : la violence engendre la violence dans une spirale infernale. Une œuvre magistrale dont il vaut mieux oublier les adaptations télé.
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Une idée de lecture
23 septembre 2011
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Tous les vendredis midi, retrouvez la suggestion de Black Novel : un livre de poche. Et n'oubliez pas le principal : lisez.
Cette semaine : Hiver de Mons Kallentoft (Points Seuil)
A bientôt.
4ème de couverture
« Cette journée
n’est pas faite pour les vivants », pense Malin Fors au cœur de l’hiver le plus froid qu’ait connu Östergötland, en Suède. Le cadavre nu et gelé, retrouvé pendu à un arbre, semble donner raison à
l’enquêtrice. La victime aurait jadis blessé son père avec une hache… Malin s’interroge : ce meurtre est-il l’assouvissement d’une vieille haine ? Ou un sacrifice pour le solstice d’hiver
?
Mons Kallentoft est né en 1968 en Suède. Journaliste et auteur, il a déjà publié cinq romans qui ont reçu de nombreux prix. Vendu à 150 000
exemplaires en Suède et traduit en huit langues, Hiver a connu un grand succès dès sa parution.
« La quintessence du polar. » Gérard Collard, France 5
Mon avis :
Voici un roman foisonnant, dans le meilleur sens du terme. C’est un portrait passionnant d’une victime des standards de beauté de notre société.
C’est un portrait magnifique d’une inspectrice hantée par la voix des morts. C’est un pays emprisonné par la neige et le froid, obligeant les gens à s’enfermer dans leur maison et leurs peurs des
autres. C'est avant tout un auteur doué. Un auteur jeune, capable de créer un personnage attachant, une ambiance glacée, un rythme soutenu. Un très bon polar nordique qui inaugure une tétralogie
passionnante.
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Une idée de lecture
16 septembre 2011
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Tous les vendredis midi, retrouvez la suggestion de Black Novel : un livre de poche. Et n'oubliez pas le principal : lisez.
Cette semaine : Fractale de Marin Ledun (La tengo éditions)
A bientôt.
4ème de
couverture :
Fin de journée à SAUDIS Corporate, cabinet de conseil en placement de produits financiers. Un message d’alerte incendie est lancé. Six employés, trois hommes et
trois femmes, gagnent le troisième sous-sol, conformément aux indications. Ils pensent à un exercice de sécurité. Mais quand les portes de l’ascenseur se referment derrière eux, ils réalisent
qu’ils n’ont plus aucun moyen de remonter. Commence alors une attente épuisante où l’exercice se révèle être un jeu sordide dont chacun devra trouver les règles pour survivre.
Mon avis :
J'ai déja chroniqué ici même Nouveau monde Inc de
Caryl Ferey, voici donc Fracale de Marin Ledun. Cette édition de pièces radiophoniques créées pour France Culture est une sacrée bonne idée. Dans cet opus, Marin Ledun nous montre comment un
patron se joue de ses employés jusqu'à les pousser à bout lors d'un huis clos haletant, pour conclure dans un final digne d'un roman policier classique. La psychologie des personnages y est
impeccable et c'est une véritable réussite en aussi peu de pages. ça se lit vite et c'est très plaisant. 91 pages de plaisir pour 4,80 euros, de quoi agrémenter vos voyages en transport en
commun.
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Une idée de lecture
9 septembre 2011
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10:00
Tous les vendredis midi, retrouvez la suggestion de Black Novel : un livre de poche. Et n'oubliez pas le principal : lisez.
Cette semaine : 1983 de David Peace (Rivages noir)
A bientôt.
4ème de couverture :
En mai 1983, à la veille d'élections générales
que la dame de fer s'apprête à remporter triomphalement, Hazel Atkins est enlevée à Morley, là où, en 1974, la petite Clare avait disparu. Même si la police refuse d’établir un lien entre les
deux affaires, d’autres victimes de disparitions similaires refont surface : Susan Ridyard et Jeanette Garland.
On s’en souvient, c’est sur ces affaires qu'enquêtait le journaliste Edward Dunford. Lui aussi a mystérieusement disparu.
Dans le dernier volume de sa tétralogie du Yorkshire, David Peace dévoile la face cachée de ces années noires et tente de définir la nature du mal qui a rongé
l’Angleterre pendant une décennie.
« Cette tétralogie criminelle se place très au-dessus de la production contemporaine.» (Le Figaro magazine)
« Plus encore qu’à James Ellroy, dont il possède le sens de l’ellipse, le style chaotique et l’art d’intégrer des fragments d’actualité dans
son récit, c’est à Robin Cook et à son désespoir implacable que fait songer David Peace.» (Elle)
Mon avis :
Comme on pouvait s’y attendre, voilà le dernier tome, le dernier cauchemar de cette tétralogie. C’est brillant
autant que sombre et noir et la comparaison avec James Ellroy n’a jamais été aussi justifiée que dans cet opus qui s’articule autour de trois personnages. C’est l’un des plus réussis de la série
(avec 1977) selon moi et une conclusion parfaite de cette affaire qui a secoué Leeds et une introduction non moins parfaite à la déliquescence que va vivre la Grande Bretagne avec l’arrivée au
pouvoir de la Dame de fer. D’ailleurs, le roman suivant, qui s’appelle GB84 parlera de la grève des mineurs de façon extraordinaire.
Message personnel : Gridou, tu sais ce qu’il te reste à faire !
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Une idée de lecture
2 septembre 2011
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10:00
Tous les vendredis midi, retrouvez la suggestion de Black Novel : un livre de poche. Et n'oubliez pas le principal : lisez.
Cette semaine :1980 de David Peace (Rivages noir)
A bientôt.
4ème de couverture :
Après l'été caniculaire de 1977, voici Leeds sous la pluie en 1980. A la radio, Yoko Ono dit : " Ce n'est pas la fin d'une époque. Les années quatre-vingt seront tout de même belles... "
Sauf dans l'ouest du Yorkshire où les gens, ont peur. Plusieurs années ont passé et les meurtres attribués à l'Eventreur continuent. Les femmes n'osent plus sortir le soir. La psychose grandit et
la police demeure impuissante. Pis encore, le mal rôde au sein même des forces dites de l'ordre. La corruption est partout.
Y a-t-il un flic honnête dans le comté du Yorkshire ? II y a Peter Hunter, l'homme qui va enquêter sur les enquêteurs.
Creuser à mains nues et ramener la boue. Creuser la tombe de ses collègues pourris ou la sienne ? Comme dans les deux précédents volumes du Red Riding Quartet, David Peace confie la narration à
un personnage, ici Peter Hunter, le directeur adjoint de la police de Manchester.
Cette façon d'intérioriser le point de vue lui permet de brosser à petites touches sèches un tableau palpitant, écorché,
violent, empreint de tout le poids de la subjectivité et, pourtant, parfaitement maîtrisé. Plus encore que dans 1974 et 1977, David Peace nous donne ici la mesure du choc qui secoua l'opinion
publique dans le nord de l'Angleterre pendant ces années où sévissaient une crise économique, politique et morale... et le véritable Eventreur du Yorkshire. C'est à un exorcisme littéraire que se
livre l'auteur dans cette tétralogie dont il reste encore un tome à publier.
Mon avis :
Après le choc de 1977, voici ce que je considère comme la pause dans cette tétralogie. David Peace décide d'élargir la
vision du passé de sa ville au fonctionnements et dysfonctionnements de la police, avec son lot de corruptions et de malversations. C'est d'autant mieux trouvé que c'est fait via une personne
extérieure et que c'est aussi un écorché vif. C'est toujours aussi brillant, mais c'est surtout une petite pause avant l'apocalypse du dernier tome, qui s'appelle 1983 et dont nous parlerons la
semaine prochaine.
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19 août 2011
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10:00
Tous les vendredis midi, retrouvez la suggestion de Black Novel : un livre de poche. Et n'oubliez pas le principal :
lisez.
Cette semaine : 1974 de David Peace (Rivages noir)
A bientôt.
4ème de couverture :
Le Yorkshire déjà célèbre pour son pudding l’est désormais pour la tétralogie que David Peace lui a consacré et dont 1974 constitue le premier volet. C’est le récit d’un voyage en enfer,
entre le vendredi 13 décembre 1974 et la soirée de Noël. Edward Dunford journaliste à l’Evening Post de Leeds enquête sur la mort d’une gamine, retrouvée violée et assassinée, des ailes de cygne
cousues à même la peau, puis il en découvre d’autres. Tout le monde est pourri dans ce royaume du Yorkshire, y compris la police qui n’hésite pas à massacrer un campement de gitans dont
l’emplacement au bord de l’autoroute gênait un projet immobilier. Dunford lui-même n’est pas le chevalier blanc seul contre tous, mais un alcoolique déprimé toujours prêt à franchir la limite, y
compris en assassinant. Un sens aigu du détail et un art consommé du dialogue font de cette tragédie lyrique un sommet du roman noir.
Mon avis :
En discutant avec un ami cette semaine, à propos de Red Riding Trilogy, une trilogie britannique adaptée de la tétralogie de David
Peace, je me suis aperçu que je ne vous avais pas parlé de ce (s) monument (s). Voilà qui est chose faite avec le premier tome, les trois autres suivront tous les vendredis. Quand il est sorti,
David Peace a été comparé à James Ellroy. C’est pourquoi je l’ai lu. David Peace est bien plus que cela, c’est un esthète de l’écriture. Chaque livre a une construction, une vie propre. Le style
est en coup de poing, basé sur les sonorités, les couleurs, les odeurs. Et le sujet est le cauchemar qu’a vécu l’auteur pendant son enfance. Le premier des 4 tomes est exemplaire, sombre, brutal,
violent, poisseux. David Peace est tout simplement l’un des auteurs britanniques contemporains les plus doués.Si sa lecture est exigente, la récompense est au bout du chemin avec un roman noir
d'une qualité rare.
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Une idée de lecture
15 juillet 2011
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10:00
Tous les vendredis midi, retrouvez la suggestion de Black Novel : un livre de poche. Et n'oubliez pas le principal :
lisez.
Cette semaine : Zulu de Caryl Ferey (Folio)
A bientôt.
4ème de couverture :
Enfant, Ali Neuman a fui pour échapper aux milices de l'Inkatha en guerre contre l'ANC. Même sa mère, seule rescapée de la famille, ne sait pas ce qu'il a enduré... Devenu chef de la police
criminelle de Cape Town, vitrine de l'Afrique du Sud, Neuman doit composer avec la violence et le sida. Les choses dérapent lorsqu'on retrouve le cadavre d'une fille blanche massacrée après avoir
absorbé une nouvelle drogue aux pouvoirs effrayants. Les townships - misère totale en bordure de plages idylliques - perdent leurs repères sous la pression de nouveaux arrivants. Neuman, dont la
mère a été agressée, envoie en aveugle son bras droit sur une piste plus que dangereuse... Si l'apartheid a disparu, de vieux ennemis agissent toujours dans l'ombre...
Mon avis :
Dix-huit mille meurtres par an, vingt-six mille agressions graves, soixante mille viols officiels (probablement dix fois
plus), cinq millions d’armes pour quarante-cinq millions d’habitants, c'est les tristes statistiques ce pays. Caryl Ferey nous concocte à nouveau un roman noir et violent, qui allie une intrigue
parfaite, des personnages forts et une ambiance extraordinaire. Il déroule son histoire sans juger, restant derrière le décor pour mieux mettre en avant son roman. L'homme est un loup pour
l'homme est une expression qui n'a que rarement été justifiée avec ce livre. Dire qu'il faut le lire est un euphémisme, il faut le dévorer. Après les guides bleus de Hachette, essayez le guide
noir de Caryl Ferey, vous n'en reviendrez pas !
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Une idée de lecture
8 juillet 2011
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10:00
Tous les vendredis midi, retrouvez la suggestion de Black Novel : un livre de poche. Et n'oubliez pas le principal : lisez.
Cette semaine : Robe de marié de Pierre Lemaitre (Livre de poche)
A bientôt.
4ème de couverture :
Nul n’est à l’abri
de la folie. Sophie, une jeune femme qui mène une existence paisible, commence à sombrer lentement dans la démence : mille petits signes inquiétants s’accumulent puis tout s’accélère. Est-elle
responsable de la mort de sa belle-mère, de celle de son mari infirme ? Peu à peu, elle se retrouve impliquée dans plusieurs meurtres dont, curieusement, elle n’a aucun souvenir. Alors,
désespérée mais lucide, elle organise sa fuite, elle va changer de nom, de vie, se marier, mais son douloureux passé la rattrape… L’ombre de Hitchcock et de Brian de Palma plane sur ce thriller
diabolique.
Avec Robe de marié, dont on comprendra le titre dans les dernières pages, Pierre Lemaitre livre un polar parfaitement orchestré où le mal n’épargne
personne. Allan Kaval, Marianne.
Une fable cruelle et amorale sur le harcèlement et la vengeance. Philippe Lemaire.
Mon avis :
J’ai découvert Pierre Lemaitre grace à ce roman, et c’est un auteur qui construit des intrigues complexes et qui écrit des histoires avec style.
La surprise de la dernière page est au rendez vous sans qu’il y ait d’incohérences. Celui-ci est remarquable par la torture infligée à une jeune femme par le biais de la technologie. Quand, en
plus, on tremble, on frémit, on est horrifié, c’est que le bouquin marche à fond. D’une lecture que je trouve pénible mais addictive, essayez le vous me direz des nouvelles.
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